mardi 25 mars 2008

Poème


Tes lèvres.

Ma peau aime

La bohème

De la fièvre

De tes lèvres.

Leur errance

Dans l’intense

S’immisce.

Complices

De mon plaisir

De ton désir

Elles effleurent

Sans fureur

L’intime

L’infime

Continent

Inconnu

Subtilement

Mis à nu.

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